- Auteur: Claude Maillard
Méditation pascale de Dietrich Bonhoeffer
Une espérance nouvelle et réelle
Constat : "nous tous continuons à vivre dans l’ancienne humanité bien réelle, mais nous voyons déjà plus loin".
"Nous tous restons confrontés à la mort, mais nous connaissons déjà une nouvelle manière de vivre".
"Nous tous restons encore dans un monde où le mal sous toutes ses formes existe, mais nous savons que ce n’est pas lui le vainqueur".
L'espérance est déjà réelle : "La nuit n’est pas encore finie, mais l’aube pointe déjà".
Commentaire de l'image ci-dessus :
l'expression "saintes femmes" désigne les femmes qui ont accompagné Jésus de Nazareth dans son ministère. En se rendant au tombeau pour embaumer son corps, elles découvrent le tombeau vide. Elles s'empressent alors d'aller annoncer la nouvelle de la résurrection aux Apôtres.
Il y a Marie de Magdala, dont l'identification est complexe. Elle est le symbole de la conversion du coeur et du corps. L'appel par son nom, Marie, la transforme et lui ouvre une relation toute nouvelle avec le Ressuscité, qu'elle appelle "Rabbouni".
Il y a aussi Marie Jacobée, épouse de Cléophas, mère de Jacques, de Joseph, de Simon et de Jude, cousins de Jésus. Elle serait la soeur ou la belle soeur de Marie. Elle subvenait aux besoins du groupe des Douze (Marc 15,40). Il y a aussi Marie-Salomé, épouse du pécheur galiléen Zébédée, mère de Jacques (le Majeur) et de Jean (Mt 20,21).
Lien vers une émission rappelant le théologien et pasteur D. Bonhoeffer
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